Chitwan National Park (3 au 5 Novembre 2012)

03.11.2012 – Arrivée à Chitwan

Ce matin, nous partons pour Chitwan ! Nous en sommes vraiment heureux car c’était incertain. Nous ne savions pas, à la base, si nous pourrions récupérer nos visas indiens avant le week-end ou non et nous nous attendions donc à devoir rester à Katmandou jusqu’au lundi. Notre visa népalais expirant mercredi, nous n’aurions pas pu aller au Chitwan National Park.

C’est donc, par ce package que nous avons réservé, que nous partons au Chitwan National Park.  Levés 5h30, nous avions faits notre sac la veille et heureusement car c’était un peu difficile de tout faire rentrer (nous avons fait un peu trop d’achats au Népal !). En vrai, ce n’était pas trop difficile mais tout de même, on sent que le sac est bien rempli maintenant alors que nous étions partis avec un peu d’espace de libre. Après notre petit-déjeuner, nous attendons un peu le gars de l’agence de voyage qui doit nous amener à la station de bus. C’est non sans frayeur que nous ne le voyons pas arriver. Pour le moment, nous n’avons payé qu’un tout petit acompte et nous avons nos tickets de bus donc on se dit qu’au pire, à 6h30, s’il n’est pas là, on part seuls. A 6h30, nous partons donc seuls et nous le croisons une minute plus tard sur le chemin…Ouf. A 7h, nous sommes dans le bus et c’est parti pour 6h de route en bus touristique.

Le bus touristique est un bus qui ne s’arrête pas avant la destination qu’il dessert. Car le concept dans ce type de pays (bus public, mini-van ou autre moyen de transport collectif) est de s’arrêter à chaque opportunité de gagner un peu d’argent, donc dès qu’on voit une personne qui semble attendre un transport…. Et des personnes le long de la route, ça ne manque pas dans ces pays peuplés ! Surtout que quand on s’arrête pour récupérer quelqu’un tous les 100 mètres, on doit ensuite s’arrêter pour les faire descendre. Et ça ne leur vient pas à l’idée de mutualiser les arrêts pour gagner du temps ; donc on s’est déjà arrêté à un endroit où la personne a mis du temps à décharger ses bagages/cartons (3 min d’attente) pour s’arrêter 20 mètres plus loin pour faire descendre une autre personne (qui serait arrivée plus tôt si elle était descendue 20 mètres avant). M’enfin !
Donc le bus touristique est un bus, pour nous, normal et pas trop amoché.

Après 2 pauses et des bonds dans le bus, nous arrivons à Sauraha, le village qui borde le Chitwan National Park à 13h15, comme prévu. De là, notre hôtel est censé venir nous chercher. « Censé » car il y a une multitude de jeep mais alors que tout le monde monte dans sa jeep respective, nous ne voyons pas la nôtre et restons, comme deux malheureux, à l’ « arrêt » de bus. D’abord on se dit que ok, nous avons pris le tour cheap et c’est ce qui arrive quand on ne paye pas le prix…mais en fait, on se rend compte que nous ne sommes pas les seuls et peu de temps après, notre jeep vient nous sauver de cet instant de doute. L’hôtel remplit toutes nos espérances : une très belle vue sur la rivière. C’est ce que nous voulions. Il se situe à l’entrée du parc et c’est bien pratique. Il s’avère que pour pénétrer le parc national, il faut traverser la rivière, soit par canoë, soit par éléphant et c’est de notre hôtel que tout part.

 

On nous attribue une chambre mais nous demandons à changer pour une chambre qui nous paraît plus cosy. Oui oui, nous avons décidé de jouer les clients difficiles. Notre chambre nous plaît beaucoup : grand lit, bambou aux murs, salle de bain privative (wouah!) et toilettes à l’occidentale ! Le luxe ! (et l’eau chaude !) On nous offre une boisson de bienvenue et on nous explique le programme des 2 prochains jours. Cool. Nous décidons d’y ajouter un safari en jeep afin d’avoir plus de chance de voir des animaux.

Après un bon déjeuner bien copieux, on part vers 16h avec un guide très sympa pour visiter un musée et un centre d’éléphants.
Il s’avère que le musée est complétement décalé et nous fait bien rire avec son air de laboratoire de savant fou : fœtus d’hippopotame, sexe de rhinocéros, organe de dauphin (sans rapport avec Chitwan), excréments de chat/tigres/oiseaux, ou encore divers serpents, poissons, etc., le tout enfermé dans des bocaux de formol verdâtre… Un vrai plaisir !

 

 

On poursuit la visite en allant juste à côté dans un centre où ils soignent un bébé rhinocéros de 3 mois qui a été agressé par un tigre. Ce petit est clairement la mascotte et rassemble une foule autour de lui. Nous ne sommes pas convaincus qu’il se réadaptera à la vie sauvage par la suite. Nous voyons ensuite un petit éléphanteau de 3 mois aussi qui se réveille et tête sa maman, ce qui ne le laisse pas insensible. Décidément, on s’amuse d’un rien. Manque plus qu’un éléphant qui s’assoit sur un arbre au loin pour parachever ce spectacle comique.

 


Nous nous rendons ensuite au centre d’élevage des éléphants du gouvernement qui ne ressemble pas à un centre. Nous y voyons des préaux et 4 éléphants sont attachés en dessous. Le guide nous fournit quelques explications : 2 types d’éléphants, les uns avec de grandes défenses, les autres non ; les éléphants domestiques se font parfois tués par les éléphants sauvages qui viennent les affronter ; vers 20 ans, les éléphants deviennent fous pendant quelques jours/semaines et peuvent tuer leur dresseur ;…
Nous finissons par rentrer en longeant la rivière dans l’espoir d’apercevoir notre premier animal sauvage. Rien, nada. En revanche, le paysage est beau avec une végétation dense et verdoyante traversée par une rivière. Nous assistons alors à un très beau coucher de soleil rougeoyant avant de regagner notre hôtel.

 

Pause de 30 minutes pendant laquelle nous prenons une douche bien chaude, quel luxe !

A 18h20, nous partons assister à un spectacle culturel de danses : Tharu dances, alias touristic dances 😉 Nous arrivons dans une salle qui ressemble à une salle communale de village aménagée pour le spectacle. Une longue salle de 25 rangées de bancs dont 4 seulement sont remplies, c’est triste. Cet instant culture fait partie du package, mais je doute que nous y aurions assisté de par nous-même. Pour autant, nous comprenons que le spectacle ne commence qu’à 19h, et que notre hôtel nous y a conduits bien tôt. Mais au final, c’est tant mieux car tout le gratin de Sauraha est là et la salle est archi-comble. Le spectacle commence. Danse guerrière des bâtons, danse festive, danse de mariage, danse des morts et la danse du paon. C’était très joli, varié, bien organisé. Très bon spectacle ! On rigolait un peu car les danseurs étaient des locaux, et certains étaient très impliqués dans leur danse et d’autres pas du tout. Au final, « touristic dance » : peut-être mais très bon spectacle malgré tout.

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Peu avant 20h, nous rentrons par nous-même à l’hôtel (le guide souhaitait demander à qqn de nous attendre dehors durant le spectacle car il avait peur qu’on se perde dans cette ville d’une rue principale et pas de rue secondaire…). Nous sommes récompensés par un diner copieux : poulet sauce blanche et légumes. Dîner à la lueur de la bougie, sur la terrasse, dehors. La fin du « back-off » (back-off=coupure d’électricité imposée) vient gâcher ce beau dîner romantique à la chandelle !

 

04.11.12 – Le jour où notre âme de chasseur s’est éveillée

Réveil à 6h10. On se prépare pour l’activité du matin et sommes au petit déjeuner à 6h30. Surprise, le paysage est très brumeux. On ne voit pas la jungle de l’autre côté de la rive. On est un peu déçu car pour voir des animaux, c’est pas terrible, mais on ne sait jamais, peut-être que ça va se lever… Nous engloutissons notre petit-déj et partons avec un nouveau guide faire du canoë + marche dans la jungle. A 7h15, l’essentiel de la brume s’est dissipée – ouf.  Sur fond de soleil levant, le paysage est mystique. C’est très beau.

 

Nous grimpons à 8 dans la pirogue, avec des français et leur guide d’un hôtel. C’est parti pour la chasse aux animaux ! Chaque photo obtenue sera notre trophée. Notre guide semble plus expérimenté car à peine parti, il nous dit qu’en donnant un peu d’argent au batelier, on pourra aller plus loin, près d’un endroit où il y aurait certainement plus de crocodiles…Nous nous concertons avec les autres français : pas question de payer plus cher ; « de toute façon, les crocodiles ne bougent pas, on dirait qu’ils sont empaillés alors à quoi bon ? ». On n’était pas contre, nous, mais à 2, pas question, donc on fera l’itinéraire normal. Le long de la descente, notre guide nous donnait régulièrement le nom des oiseaux, et celui de l’autre hôtel reprenait les propos de notre guide pour le répéter à ses invités. C’est confirmé, notre guide est plus expérimenté. On apprend que l’eau de la rivière est chaude car il s’agit d’une eau de source jaillissant du sol, et pas d’une eau glaciale des montagnes et on apprend quelques noms d’oiseaux (pas les insultes). Puis, surprise, on voit un crocodile ! Sur les deux espèces qui existent, il s’agit de la plus rare. Cooool ! Ah ? tiens, sur la photo… on dirait qu’une barre de métal soutient la tête du crocodile ?!? S’ils empaillaient un crocodile pour les touristes, ils n’y verraient que du feu… On croise alors un deuxième crocodile dans l’eau, puis un troisième. Ouf ! Le bilan de la course : 3 crocodiles, 2 paons, 1 martin-pêcheur, 1 ibis, 1 marabout, plusieurs canards russes :-) L’essentiel est là.

On arrive sur la terre ferme, notre guide nous glisse que le métier de batelier est difficile et qu’on peut donner un pourboire ; il est décidément très expérimenté notre guide.
Sur la terre ferme, nous sommes accompagnés d’un autre népalais qui marche derrière nous. Un guide grimpe à un arbre et scrute les alentours… il se tend, parle avec les autres. Ahah ! On part de nouveau en chasse ; de quoi on ne sait pas, mais on y part. On verra deux rhinocéros :-)

Ensuite, on traverse des pans de jungle aux paysages variés (forêt denses, herbes hautes, forêt écartées). C’est assez marrant car il ne faut pas faire de bruit en marchant pour ne pas faire fuir les animaux, alors on regarde ses pieds pour ne pas marcher sur les branches et les faire craquer pour marcher aux meilleurs endroits possibles…mais du coup, on ne lève pas la tête et on ne voit pas les animaux déguerpir justement…Alors on lève la tête mais alors on fait du bruit en marchant ! Pas facile ces safaris quand même ! Et d’autres fois, soudainement, le guide s’arrête et nous dit : « regardez ! » Ben on regarde, mais on ne voit rien… Alors on avance pour s’approcher et on commence à déceler une tache noire au loin. Notre analyse : certainement un animal, mais incapable de dire si c’est un oiseau, un singe ou autre. L’analyse du guide : c’est un caracou royal à patte rouge et aux yeux bleus ou autre oiseau super rare et qu’on a de la chance de le voir. Bon, ben c’est cool alors… des oiseaux rares ajoutés à notre palmarès de chasse J Au bilan, nous verrons des singes et une espèce rare d’oiseaux en plus des rhinocéros. On ne comprend toujours pas comment ils font la distinction de si loin. Mais ils sont bons pour déceler les animaux. Quant à notre retour au lodge, on a croisé deux crocodiles qui prenaient un bain de soleil… juste à l’entrée du parc !

 

A 11h30, tout juste en rentrant, on nous propose d’aller faire le bain des éléphants. Kévin : « vas-y Elise, je vais te prendre en photo comme ça ». Elise : « Ah non mais vas-y, je n’y tiens pas forcément donc si tu as envie de le faire… » Kévin : « Ben non, je vais te prendre en photo ». En fait Kévin ne le dit pas mais il n’a pas du tout envie d’être mouillé le chenapan. Du coup, c’est Elise qui s’y colle. Et en effet, ça mouille !!! Ce n’est pas que le bain des éléphants, c’est le bain pour tout le monde ! L’éléphant ramasse de l’eau avec sa trompe et se mouille le reste du corps ainsi. Alors forcément, quand on est sur son dos, on se prend toute l’eau qu’il jette. Et puis son « driver » le fait biensûr aller complétement dans l’eau pour rire. Ahahah, que c’est drôle ! En vrai, c’était assez marrant…booouh Kevin, t’aurais dû le faire !

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Après s’être vraiment lavée pour Elise (car le bain des éléphants c’est bien, mais l’eau est bien crade), on se fait un bon repas rapidos vers 12h15 et on repart à 12h45 pour notre jeep safari.

Pour le Jeep Safari, le guide qui nous accompagnera vient nous chercher à notre hôtel. Même si ce n’est pas trop compliqué puisque nous sommes littéralement à deux pas de l’entrée du parc, c’est toujours la classe d’être pris intégralement en charge. N’ayant pas l’habitude, on s’y fait étonnant vite J. Bref, nous traversons en pagode la rivière et montons dans notre jeep. Notre jeep est un pick-up avec deux banquettes de 3 personnes à l’arrière et une place à côté du chauffeur. Quant au guide, il se transforme en chimpanzé puisque qu’il est hors du véhicule, sur une petite marche et agrippé à une barre de maintien – bon, on ne l’ajoutera pas à notre liste de chasse. Fier de notre expérience matinale de chasseur, le tigre n’a qu’à bien se tenir car nous sommes partis à sa recherche !…et nous chercherons encore. Faut l’admettre, nous ne l’avons pas vu. En revanche, il y a d’autres animaux quand même ! Ben, deux heures plus tard, on en doutait sérieusement… Au passage d’un étang, Kevin et deux hollandais ont aperçu un sanglier ; mais la jeep a continué sa route ; au cris des hollandais pour prévenir tout le monde et revenir sur nos pas, plus de sanglier. On croise quelques locaux, quelques camps militaires (protection du parc), de nombreuses jeeps pleines de touristes, et pas d’animaux. On doute ; après tout, on est dans un véhicule bruyant qui suit de larges sentiers dégagés mais bloqués de part et d’autre par une végétation dense… trop dense à l’image d’une herbe de 6 mètres de haut. Finalement, nous nous arrêtons au centre d’élevage du crocodile ‘garodial’. Mais devant payer dans un trajet que nous avons déjà payé, pas question, d’autant plus que nous les avons déjà vu à plusieurs reprises. Bref, nous attendons 20 minutes deux népalais (qui parlent français) qui souhaitaient visiter ce site. Donc toujours 0 animaux au compteur, ou plutôt 1 pour le sanglier… Kevin. Nous repartons donc progressivement vers l’entrée du parc, par un nouveau chemin. Nous entrapercevons à travers des arbustes deux espèces différentes de daims. Une jeep bruyante nous dépasse, mais nous la retrouvons rapidement à l’arrêt dans une clairière. Des daims ! A découvert, 300 mètres devant nous… Pas super exotique comme animal, mais l’instinct de chasseur reprend le dessus – on se rue silencieusement sur notre appareil, on aligne la cible et on shoote joyeusement en rafale ces animaux. Ce derniers prennent alors conscience de notre présence et s’en vont quand une autre jeep arrive. Nous sommes beaucoup de jeep à la queue-leu-leu, et on comprend qu’être le dernier n’est pas terrible car les autres font fuir les bêtes. Par contre, notre chauffeur n’a pas l’air de le comprendre car il se fera doubler par deux autres jeeps L. Toujours est-il que nous verrons de nouveau la jeep devant arrêtée une fois suivante devant un arbre où jouent de nombreux singes. Clicclicclic, nous prenons pleins de photos. Pratique pour notre guide de suivre les autres jeeps. Nous prenons un chemin qui longe des étangs… Suspens… C’est bon, nous voyons enfin l’autre espèce de crocodiles, une espèce plus méchante et vorace qui ressemble à des petits alligators. Puis nous entamons le  trajet de retour. Bref, le bilan est maigre. Nous approchons le poste militaire qui démarque la fin du centre du parc, mais nous retrouvons derrière deux jeeps à l’arrêt. Ah ? Un rhinocéros en plein milieu de la voie qui semble se la couler très douce… On peut prendre des photos nettes de la bête, cool. Au bout de 10 minutes, on comprend que les jeeps ne veulent pas trop s’approcher du rhinocéros non plus et qu’il faut attendre que la bête s’en aille. Nous rentrons finalement, avec un bilan correct : singes, rhinocéros, crocodiles et daims. Si nous avions déjà aperçu le matin même plusieurs de ces animaux à travers notre marche, les photos que nous avons obtenues par ce safari en 4*4 sont plus nettes.

 

 

 

En rentrant de notre safari à 17 heures, nous avons tout juste le temps d’assister au coucher du soleil de notre hôtel, sur la rivière. Magnifique ! Tiens ? mais au loin on voit même un rhinocéros qui traverse la rivière et reste pas loin de notre hôtel.

 

On s’était dit, si on voit un tigre, on s’offre une bière. Et puis juste avant de partir, on s’était dit, non mais si on voit quelques animaux, on s’offre une bière…(on savait très bien que la bière, on ne l’aurait jamais sinon). Et puis au milieu du jeep safari, on s’est dit « et si on ne voit aucun animaux, peut-être qu’on pourra se consoler avec une bière non ? ». En gros, on avait vraiment envie d’une bière 😛 Alors pour « fêter » une de nos dernières soirées au Népal, nous nous offrons un petit apéro : une bière pour 2 (mais ce sont des 60cl) et un petit paquet de chips. Nous dégustons cela sur le sable, face à la rivière et à un ciel magnifique ! (plein de teintes rosées). Le bonheur sur terre !

 

Et comme nous avons une chambre luxueuse, on en profite encore en reprenant une douche !!!

Nous dînons, comme la veille, sur la terrasse de l’hôtel. Nous discutons avec 2 allemands ou plutôt un allemande et sa « compagne » thaïlandaise. Compagne entre guillemets car Kévin est persuadé qu’il s’agissait d’un lady boy. En tout cas, ils nous donnent beaucoup de conseils pour notre voyage en Thaïlande et c’est appréciable.

 

05.11.2012 – Alliance Chitwan et Lumbini

Aujourd’hui, levée 5h30, à 6h nous sommes prêts pour partir à notre Elephant riding. Le jeep de l’hôtel nous emmène au départ et à 6h45, nous sommes fin prêts sur notre monture. Nous sommes à 4 dans le « baquet » qui surplombe l’éléphant et le « chauffeur » se tient sur son cou. C’est assez inconfortable. Nous sommes sur un petit éléphant et il nous sentons vraiment toutes les secousses à chaque pas. En plus, on se prend tous les arbres du bas-côté. Il pourrait faire attention quand même ! Par contre, c’est un très bon moyen d’observer la nature et de voir les animaux puisque c’est un moyen de transport très silencieux dans la jungle !

En 2h, nous verrons énormément de daims, paons et singes. C’est une balade très agréable et surtout très originale.

 

 

 

De retour à l’hôtel, nous avalons notre petit-déjeuner et partons direction la station de bus.

A 9h30, notre bus part direction Lumbini ou plutôt direction Bhairawa où nous devrons prendre un bus local pour Lumbini.

Nous avons beaucoup aimé ces 2 jours dans le Chitwan National park où nous avons fait des activités que nous considérons originales. Nous savions que ce n’était absolument pas la période pour voir des animaux car après la saison des pluies (juillet-août), ils ne coupent les herbes que vers Mars. Du coup, dur de repérer quoi que ce soit parmi ces herbes géantes. Néanmoins, nous avons vu quelques animaux et surtout passés de bons moments dans la jungle et en bord de rivière.

La suite à Lumbini !